Statistiques de survie pour le cancer du poumon non à petites cellules
Les statistiques de survie au cancer du poumon non à petites cellules sont des estimations très générales qui doivent être interprétées avec prudence. Puisqu’elles sont fondées sur l’expérience de groupes de personnes, elles ne permettent pas de prévoir les chances de survie d’une personne en particulier.
Il existe de nombreuses méthodes différentes pour évaluer et consigner les statistiques de survie au cancer. Votre médecin peut vous expliquer les statistiques sur le cancer du poumon non à petites cellules et ce qu’elles signifient pour vous.
Survie nette @(Model.HeadingTag)>
La survie nette représente la probabilité de survivre au cancer en l’absence d’autres causes de décès. Elle permet d’estimer le pourcentage de personnes qui survivront au cancer.
Au Canada, la survie nette à 5 ans pour le cancer du poumon est de 22 %. Cela signifie qu’en moyenne, environ 22 % des personnes ayant reçu un diagnostic de cancer du poumon vivront au moins 5 ans. Cette donnée de survie nette englobe les cancers du poumon non à petites cellules et à petites cellules; il n'y a pas de statistiques de survie nette distinctes pour chaque type.
La survie varie selon le stade du cancer du poumon. En général, plus on diagnostique et on traite le cancer du poumon à un stade précoce, meilleur est le pronostic.
Survie au cancer du poumon non à petites cellules @(Model.HeadingTag)>
Au Canada, la survie selon le stade pour le cancer du poumon non à petites cellules est consignée sous forme de survie nette après 5 ans.
Stade | Survie nette après 5 ans |
---|---|
1 | 62 % |
2 | 39 % |
3 | 16 % |
4 | 3 % |
stade inconnu | 14 % |
Questions sur la survie @(Model.HeadingTag)>
Discutez de votre pronostic avec votre médecin. Le pronostic repose sur de nombreux facteurs, dont ceux-ci :
- vos antécédents de santé;
- le type de cancer du poumon;
- le stade;
- certains aspects du cancer, comme des changements génétiques subis par les cellules cancéreuses;
- les traitements choisis;
- comment le cancer répond au traitement.
Seul un médecin qui connaît bien ces facteurs peut examiner toutes ces données de concert avec les statistiques de survie pour en arriver à un pronostic.