Une intervention chirurgicale après un test de l’APS de routine @(Model.HeadingTag)>
À l’âge de 66 ans, Jerry Howarth, annonceur des Blue Jays, a pris l’initiative de se faire dépister pour le cancer de la prostate. Depuis 16 ans, il passait régulièrement des tests de dépistage du cancer de la prostate pour s'assurer que son taux d’APS était normal. Mais, cette année-là, lorsqu’il a reçu les résultats de son test, il a été bouleversé d'apprendre que son taux d’APS avait grimpé à 6,0. La plupart des laboratoires considèrent qu'un taux normal d’APS se situe autour de 4 ng/ml.
Jerry a été rapidement dirigé vers un urologue pour des examens complémentaires et a poursuivi son autosurveillance pendant un an. Mais un an plus tard, il a appris que ses résultats s'étaient aggravés.
Après avoir passé une année entière avec un taux de 6,0, je suis allé refaire mon test et j'ai appris que mon taux d’APS était passé à 7,5, ce qui était inquiétant, explique Jerry. Une fois que ce chiffre est passé à 8,5, j'ai subi une IRM et une biopsie pour déterminer ce qui se passait avec ma prostate et pourquoi les chiffres augmentaient.
Après la biopsie, son urologue l'a appelé pour lui donner les résultats. La pire crainte de Jerry s'est alors réalisée : une tumeur se développait dans sa prostate. Une semaine plus tard, il a pris la décision de se faire enlever la prostate. Heureusement, l'opération a été un succès et le taux d’APS de Jerry a chuté de manière importante.
« Après mon opération, le chirurgien m'a dit que mon cancer de la prostate était au stade 1, raconte Jerry. J'étais vraiment soulagé de l'apprendre. »
Jerry reconnaît que ses traitements n'auraient pas été aussi efficaces sans la détection précoce de l’APS. Il espère que d'autres personnes comme lui sont conscientes de son importance.
Sensibiliser les autres hommes @(Model.HeadingTag)>
Le taux d’APS de Jerry est resté à 0,1 après l'opération. Cette expérience de cancer étant derrière lui, il est désormais déterminé à vivre pleinement sa vie et à profiter de tous les instants qui lui sont offerts. Il s'est également engagé à sensibiliser le public à l'importance du dépistage du cancer de la prostate, en particulier pour les hommes présentant un risque élevé.
« Le test de l’APS est indispensable. Les hommes présentant un risque élevé de cancer de la prostate devraient commencer à se faire dépister dès 45 ans, afin d'établir une détection précoce et de commencer à évaluer et à traiter le cancer de la prostate, déclare Jerry. J'ai été très chanceux de recevoir les résultats de mon test de l’APS qui ont révélé la nécessité de traiter mon cancer et d’avoir une intervention chirurgicale. »
Les progrès de la recherche sur le cancer de la prostate qui ont permis à Jerry de recevoir un traitement ne seraient pas possibles sans les personnes qui font des dons à la Société canadienne du cancer. Il continue d'être reconnaissant envers les nombreux donateurs qui aident à financer la recherche qui sauve des vies.
Il y a tellement de façons de vaincre le cancer, mais il faut des fonds pour embaucher les personnes nécessaires et découvrir ce qui fonctionne le mieux en ce qui concerne le cancer de la prostate et d'autres types de cancer, dit-il. À tous les donateurs de la SCC à travers le pays qui aident à financer la recherche qui sauve des vies, merci de continuer à rendre des histoires comme la mienne possibles. C'est grâce à un soutien comme le vôtre que j'ai pu survivre et poursuivre ma carrière d’annonceur radio des Blue Jays de Toronto.
Le cancer de la prostate est l'un des cancers les moins évitables. C'est pourquoi il est si important d’en connaître les signes et les symptômes et de le traiter à un stade précoce. D'énormes progrès ont été réalisés dans la lutte contre le cancer de la prostate, mais cette maladie reste le cancer le plus fréquemment diagnostiqué et la troisième cause de décès par cancer chez les hommes au Canada. Faites un don pour financer la recherche sur le cancer de la prostate qui sauve des vies et des programmes de soutien empreints de compassion.