Réduire le risque de cancer du col de l'utérus
Vous pouvez réduire votre risque de cancer du col de l’utérus en adoptant les comportements suivants.
Faites-vous vacciner contre le virus du papillome humain (VPH) @(Model.HeadingTag)>
Le VPH est un facteur de risque des lésions malpighiennes intra-épithéliales (SIL), qui est un état précancéreux, et du cancer du col de l’utérus. Les 3 vaccins anti-VPH disponibles au Canada sont Gardasil, Cervarix et Gardasil 9. Ces vaccins aident à protéger contre l’infection au VPH 16 et au VPH 18, les 2 types de VPH les plus souvent associés aux états précancéreux et au cancer du col de l’utérus. Le vaccin Gardasil 9 protège aussi contre 5 autres types de VPH qui peuvent causer le cancer. Ces 3 vaccins sont approuvés pour aider à prévenir les états précancéreux du col de l’utérus et le cancer du col de l’utérus liés à une infection au VPH.
Faites-vous vacciner ou faites vacciner vos enfants par le biais des programmes scolaires s’ils sont offerts. Si vous n’êtes pas admissible à la vaccination gratuite, demandez à votre médecin quel vaccin vous devriez recevoir et quand.
Les vaccins anti-VPH devraient être un complément et non un substitut au dépistage du cancer du col de l’utérus. Toutes les femmes, qu’elles se fassent vacciner ou non contre le VPH, doivent passer le test de dépistage du cancer du col de l’utérus. Les vaccins anti-VPH préviennent l'infection causée par les types de VPH associés à 70 à 90 % de tous les cancers du col de l'utérus. Donc, les vaccins anti-VPH ne préviennent pas tous les cancers du col de l’utérus.
Adoptez des pratiques sexuelles plus sûres @(Model.HeadingTag)>
Le moyen le plus sûr de prévenir les infections par le VPH consiste à éviter tout contact génital avec une autre personne. Une personne qui a déjà eu des relations sexuelles risque d’attraper le VPH.
Demandez à vos partenaires s’ils ont ou ont déjà eu une infection transmissible sexuellement (ITS) et s’ils se sont toujours protégés. Rappelez-vous que les comportements sexuels antérieurs de vos partenaires sont également un facteur de risque pour vous, en particulier s’ils ont eu de nombreux partenaires.
Si vous avez une vie sexuelle active, utilisez le condom ou d’autres barrières, comme la digue dentaire, pour aider à vous protéger du VPH. L’emploi du condom ou d’autres barrières peut réduire le risque d’infection au VPH si on les met avant tout contact sexuel peau sur peau. Cependant, la peau non couverte n’est pas protégée contre le virus.
Suivez les lignes directrices sur le dépistage du cancer @(Model.HeadingTag)>
Si vous suivez les lignes directrices sur le dépistage du cancer du col de l’utérus, on peut détecter le cancer avant que vous n’observiez des symptômes. Suivez les lignes directrices même quand vous vous sentez bien et en bonne santé. Passez régulièrement un test Pap pour aider à trouver le plus tôt possible des changements anormaux dans le col de votre utérus.
Apprenez-en davantage sur le dépistage du cancer du col de l’utérus.
Vivez sans fumée @(Model.HeadingTag)>
Fumer du tabac accroît le risque d’états précancéreux et de cancer du col de l’utérus. Pour avoir les coordonnées de la Téléassistance pour fumeurs de votre province ou territoire, consultez cancer.ca/Téléassistance pour fumeurs.
Découvrez si votre risque de cancer du col de l’utérus est élevé @(Model.HeadingTag)>
Certaines femmes risquent plus que la moyenne d’être un jour atteintes d’un cancer du col de l’utérus. Discutez avec votre médecin de votre risque. S’il est supérieur à la moyenne, vous devrez peut-être passer un test Pap plus souvent ou un test du VPH.
Pour plus d’information sur la prévention du cancer @(Model.HeadingTag)>
Découvrez ce que vous pouvez faire pour prévenir le cancer.