Risques de cancer du bassinet du rein ou de l’uretère
Certains comportements, substances ou états peuvent affecter votre risque, ou probabilité, d’avoir le cancer. Il y a des choses qui font augmenter votre risque alors que d’autres le font diminuer. La plupart des cancers sont attribuables à de nombreux risques. Mais le cancer apparaît parfois chez des personnes qui ne présentent aucun risque.
Le fait de fumer du tabac est le plus important risque de cancer du bassinet du rein ou de l’uretère.
Le cancer du bassinet du rein ou de l’uretère affecte plus les hommes que les femmes. Il est plus courant chez les personnes de plus de 65 ans.
Les facteurs qui suivent peuvent accroître votre risque de cancer du bassinet du rein ou de l’uretère. Vous pouvez faire certaines choses pour réduire votre risque et aider à vous protéger du cancer.
Néphropathie endémique des Balkans
Fumer du tabac @(Model.HeadingTag)>
Fumer du tabac accroît votre risque de cancer du bassinet du rein ou de l'uretère. Plus vous fumez et plus vous fumez longtemps, plus votre risque est élevé. Après que vous avez cessé de fumer, le risque diminue avec le temps.
Apprenez-en davantage sur les façons de vivre sans fumée.
Phénacétine @(Model.HeadingTag)>
La phénacétine est un type d’analgésique. Les médicaments qui contiennent de la phénacétine ont été bannis au début des années 80, alors ils ne sont plus susceptibles d’être un facteur de risque important. Mais les personnes qui ont pris 3 comprimés ou plus de phénacétine par jour pendant un certain nombre d’années risquent davantage d’être atteintes d’un cancer du bassinet du rein ou de l’uretère.
Acides aristolochiques @(Model.HeadingTag)>
Les acides aristolochiques sont présents naturellement dans plusieurs types de plantes. On peut avoir recours à ces plantes en médecine traditionnelle chinoise pour traiter l’arthrite et d’autres maladies causées par une inflammation.
Les personnes qui prennent des produits à base de plantes médicinales contenant des acides aristolochiques risquent davantage d’avoir un cancer du bassinet du rein ou de l’uretère, ainsi que des dommages aux reins.
Néphropathie endémique des Balkans @(Model.HeadingTag)>
La néphropathie endémique des Balkans (NEB) est une maladie grave du rein qui survient seulement chez des habitants de groupes de villages situés dans la région des Balkans de l’Europe de l’Est, dont la Serbie, la Croatie, la Bulgarie, la Roumanie, la Macédoine et la Bosnie-Herzégovine. Les personnes atteintes de NEB risquent davantage d’avoir un cancer du bassinet du rein ou de l’uretère.
Les chercheurs pensent qu’il pourrait y avoir un gène qui rend certaines personnes plus à risque d’être atteintes de NEB si elles consomment des aliments contenant des acides aristolochiques.
Infections rénales ou calculs rénaux chroniques @(Model.HeadingTag)>
Les calculs rénaux sont des cristaux de minéraux présents dans l’urine qui se sont collés les uns aux autres pour former de petits dépôts durs. Les personnes qui ont beaucoup de calculs rénaux ou d’infections rénales risquent davantage d’être atteintes d’un carcinome épidermoïde, qui apparaît rarement dans le bassinet du rein ou l’uretère.
Syndrome de Lynch @(Model.HeadingTag)>
Le syndrome de Lynch est un trouble
On distingue 2 types de syndrome de Lynch. Le type A accroît le risque de cancer colorectal, tandis que le type B accroît le risque de plusieurs cancers, dont le cancer colorectal, d’autres cancers de l’appareil digestif et des cancers des voies urinaires, comme le cancer du bassinet du rein ou de l’uretère.
Radiothérapie antérieure @(Model.HeadingTag)>
Une personne qui a reçu une radiothérapie à l’abdomen ou au bassin risque davantage d’être atteinte d’un cancer du bassinet du rein ou de l’uretère. Une personne qui est exposée à des rayonnements au travail ou qui a survécu à une bombe atomique ou à un accident nucléaire est aussi plus à risque d’avoir le cancer du bassinet du rein ou de l’uretère.
Risques possibles @(Model.HeadingTag)>
On a établi un certain lien entre les éléments qui suivent et le cancer du bassinet du rein de même que le cancer de l’uretère, mais on ne possède pas suffisamment de preuves pour affirmer qu'ils sont des risques. On doit faire plus de recherches.
arsenic
certains produits chimiques appelés amines aromatiques, utilisés en milieu de travail (peinture professionnelle, fabrication de caoutchouc, production d’aluminium et de métaux, et fabrication de textiles et de colorants)
Comprendre votre risque de cancer @(Model.HeadingTag)>
Afin de prendre les bonnes décisions pour vous, posez des questions sur les risques à votre équipe de soins. Renseignez-vous sur les façons de prévenir le cancer et de réduire votre risque.