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La COVID-19 a fait ressortir certaines des plus importantes lacunes de notre système de soins de santé. Beaucoup de Canadiens atteints du cancer font quotidiennement face à une de ces lacunes – la peur et le fait de ne pas savoir ce qui se passe lorsqu’ils ne peuvent pas travailler et qu’ils ne sont pas admissibles à un programme d’aide financière.
Un de ces programmes repose sur les prestations de maladie de l’assurance-emploi. Pratiquement inchangées depuis les années 1970, ces prestations de maladie donnent aux employés assurés jusqu’à 15 semaines d’aide financière si des raisons médicales les empêchent de travailler. Bien qu’elles ne soient pas sans inconvénient, elles constituent un important filet de sécurité pour les travailleurs qui ont besoin de temps pour se remettre d’une maladie ou d’une blessure grave.
Les prestations sont toutefois plafonnées à 15 semaines, que le travailleur soit ou non en assez bonne santé pour reprendre le travail. Nombre d’entre eux atteignent la fin de leurs prestations avant d’être rétablis et sont contraints de prendre une décision difficile : perdre leur emploi ou poursuivre leur rétablissement.
Heureusement, le gouvernement fédéral s’est engagé à prolonger la période des prestations de 15 semaines à au moins 26 semaines. La SCC revendique depuis longtemps cette prolongation des prestations de maladie de l’assurance-emploi. Pendant les élections de 2019, le Parti libéral du Canada s’est engagé à prolonger la période des prestations de maladie de l’assurance-emploi. Le ministre de l’Emploi, du Développement de la main-d’œuvre et de l’Inclusion des personnes handicapées a réaffirmé cet engagement dans sa lettre de mandat présentée en décembre 2019. Le rapport rappelle pourquoi il est si important que cet engagement soit respecté.
Pour en savoir plus sur les prestations de maladie de l’assurance-emploi et sur les recommandations traitant de la façon de les améliorer, lisez le rapport complet sur la politique des prestations de maladie de l’assurance-emploi.
Un de ces programmes repose sur les prestations de maladie de l’assurance-emploi. Pratiquement inchangées depuis les années 1970, ces prestations de maladie donnent aux employés assurés jusqu’à 15 semaines d’aide financière si des raisons médicales les empêchent de travailler. Bien qu’elles ne soient pas sans inconvénient, elles constituent un important filet de sécurité pour les travailleurs qui ont besoin de temps pour se remettre d’une maladie ou d’une blessure grave.
Les prestations sont toutefois plafonnées à 15 semaines, que le travailleur soit ou non en assez bonne santé pour reprendre le travail. Nombre d’entre eux atteignent la fin de leurs prestations avant d’être rétablis et sont contraints de prendre une décision difficile : perdre leur emploi ou poursuivre leur rétablissement.
Heureusement, le gouvernement fédéral s’est engagé à prolonger la période des prestations de 15 semaines à au moins 26 semaines. La SCC revendique depuis longtemps cette prolongation des prestations de maladie de l’assurance-emploi. Pendant les élections de 2019, le Parti libéral du Canada s’est engagé à prolonger la période des prestations de maladie de l’assurance-emploi. Le ministre de l’Emploi, du Développement de la main-d’œuvre et de l’Inclusion des personnes handicapées a réaffirmé cet engagement dans sa lettre de mandat présentée en décembre 2019. Le rapport rappelle pourquoi il est si important que cet engagement soit respecté.
Pour en savoir plus sur les prestations de maladie de l’assurance-emploi et sur les recommandations traitant de la façon de les améliorer, lisez le rapport complet sur la politique des prestations de maladie de l’assurance-emploi.