Des chercheurs internationaux trouvent une vocation et un sentiment d’appartenance grâce au programme Dynamique équipe de sensibilisation et d’information sur la recherche de la SCC, là où science et création de liens se rejoignent.
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Lorsque Jessica Lopez Espinosa et Ismay de Beijer ont franchi pour la première fois le seuil d’un laboratoire de recherche canadien, elles n’entamaient pas seulement un nouveau chapitre dans leur carrière universitaire : elles relançaient une mission personnelle qu’elles avaient commencée avant leur arrivée au pays.
Jessica est l’une des nombreuses chercheuses à avoir trouvé à la fois une occasion de recherche scientifique et un sentiment d’appartenance au Canada. Ayant reçu un diagnostic de lymphome hodgkinien alors qu’elle était enfant, elle connaît pour l’avoir vécu l’impact que peut avoir cette maladie. Maintenant étudiante à la maîtrise en immunologie, elle est déterminée à améliorer les traitements contre le cancer pour les personnes qui vivront une expérience similaire.
« Je suis venue au Canada pour une raison, raconte-t-elle. Je savais que j’aimais la façon dont la recherche était menée et dont les soins de santé étaient abordés dans ce pays. »
Ismay, spécialiste du comportement venant des Pays-Bas et étudiante au doctorat en recherche sur la survie au cancer infantile, abonde dans le même sens. Lorsqu’elle est venue étudier au Canada, sa source de motivation était le décès du père de sa meilleure amie, emporté par une tumeur au cerveau, et celui de sa grand-mère, victime d’un cancer du poumon. Aujourd’hui, son travail en oncologie psychosociale à l’Université de Calgary vise à optimiser les soins aux survivants grâce à l’adoption de comportements favorisant un mode de vie sain.
« Je suis extrêmement reconnaissante de pouvoir être ici et de poursuivre les travaux de recherche que j’ai commencés en Europe, explique Ismay. Ma participation au programme Dynamique équipe de sensibilisation et d’information sur la recherche (DÉSIR) de la Société canadienne du cancer est ma façon à moi de redonner à la communauté qui m’a si chaleureusement accueillie. »
Jessica est l’une des nombreuses chercheuses à avoir trouvé à la fois une occasion de recherche scientifique et un sentiment d’appartenance au Canada. Ayant reçu un diagnostic de lymphome hodgkinien alors qu’elle était enfant, elle connaît pour l’avoir vécu l’impact que peut avoir cette maladie. Maintenant étudiante à la maîtrise en immunologie, elle est déterminée à améliorer les traitements contre le cancer pour les personnes qui vivront une expérience similaire.
« Je suis venue au Canada pour une raison, raconte-t-elle. Je savais que j’aimais la façon dont la recherche était menée et dont les soins de santé étaient abordés dans ce pays. »
Ismay, spécialiste du comportement venant des Pays-Bas et étudiante au doctorat en recherche sur la survie au cancer infantile, abonde dans le même sens. Lorsqu’elle est venue étudier au Canada, sa source de motivation était le décès du père de sa meilleure amie, emporté par une tumeur au cerveau, et celui de sa grand-mère, victime d’un cancer du poumon. Aujourd’hui, son travail en oncologie psychosociale à l’Université de Calgary vise à optimiser les soins aux survivants grâce à l’adoption de comportements favorisant un mode de vie sain.
« Je suis extrêmement reconnaissante de pouvoir être ici et de poursuivre les travaux de recherche que j’ai commencés en Europe, explique Ismay. Ma participation au programme Dynamique équipe de sensibilisation et d’information sur la recherche (DÉSIR) de la Société canadienne du cancer est ma façon à moi de redonner à la communauté qui m’a si chaleureusement accueillie. »
Jessica Lopez Espinosa (à gauche) et Ismay de Beijer
Combler l’écart entre la recherche sur le cancer et le public@(headingTag)>
La Dynamique équipe de sensibilisation et d’information sur la recherche (DÉSIR) est une initiative menée par des bénévoles recevant le soutien de la Société canadienne du cancer (SCC). Elle met en relation des chercheurs en début de carrière et des communicateurs scientifiques avec le public, contribuant ainsi à combler le fossé entre la recherche complexe et la compréhension quotidienne.
Les bénévoles de DÉSIR établissent des liens avec l’ensemble de la communauté lors d’événements, de séminaires de sensibilisation et de conférences de vulgarisation, dans le but d’unir les Canadiens et de les inciter à s’informer plus activement sur la recherche sur le cancer.
Pour Ismay et Jessica, qui sont devenues proches grâce à leur expérience de cancer et à leur travail au sein de l’équipe DÉSIR, tout est une question de liens. Il est important pour elles de créer des liens avec d’autres bénévoles, chercheurs, patients et survivants. Il s’agit d’une expérience unique.
« Je pense que DÉSIR crée cette voie importante qui nous permet d’établir des liens, de connaître l’histoire de chacun et de trouver de la motivation grâce à ces histoires », explique Ismay.
Apprenez-en plus sur le programme DÉSIR et sur la façon dont nous favorisons la création de liens entre des chercheurs internationaux et les communautés canadiennes.
Les bénévoles de DÉSIR établissent des liens avec l’ensemble de la communauté lors d’événements, de séminaires de sensibilisation et de conférences de vulgarisation, dans le but d’unir les Canadiens et de les inciter à s’informer plus activement sur la recherche sur le cancer.
Pour Ismay et Jessica, qui sont devenues proches grâce à leur expérience de cancer et à leur travail au sein de l’équipe DÉSIR, tout est une question de liens. Il est important pour elles de créer des liens avec d’autres bénévoles, chercheurs, patients et survivants. Il s’agit d’une expérience unique.
« Je pense que DÉSIR crée cette voie importante qui nous permet d’établir des liens, de connaître l’histoire de chacun et de trouver de la motivation grâce à ces histoires », explique Ismay.
Apprenez-en plus sur le programme DÉSIR et sur la façon dont nous favorisons la création de liens entre des chercheurs internationaux et les communautés canadiennes.