Avec l’aide de l’intelligence artificielle (IA), cette chercheuse financée par la SCC travaille d’arrache-pied pour offrir plus de moments à partager aux personnes atteintes de cancer et à leurs familles.
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Ayant vécu de près l’impact du cancer du sein, April Khademi sait très bien que chaque instant est précieux, et elle est déterminée à offrir aux personnes atteintes de cancer plus de temps auprès de leurs proches.
Grâce au Prix pour des chercheurs prometteurs de la Société canadienne du cancer, Mme Khademi et son équipe ont créé un outil d’IA qui aide les pathologistes à poser de manière plus constante et plus fiable les diagnostics de cancer du sein qui orientent la prise de décisions sur le traitement.
Habituellement, les pathologistes analysent les cellules et les tissus au microscope afin de fournir des scores permettant de préciser le diagnostic et de déterminer les traitements envisageables. Cependant, les médecins peuvent interpréter différemment un même échantillon, et dans un contexte de pénurie de pathologistes, cette méthode peut entraîner des délais dans le diagnostic et les soins.
« Pour n’importe quelle analyse effectuée par des êtres humains, selon l’expérience, la formation ou même l’heure de la journée, l’interprétation visuelle d’une image pourrait mener à des réponses différentes », affirme Mme Khademi.
Une étude internationale parue récemment a montré que l’outil d’IA créé par Mme Khademi et son équipe améliorait considérablement les évaluations des pathologistes. Cet outil permettrait une notation plus efficace et plus précise d’un biomarqueur du cancer du sein.
Mme Khademi est enthousiaste à l’idée que son projet de recherche puisse aider les médecins à choisir les meilleurs traitements pour chaque personne selon son diagnostic. À l’heure actuelle, son équipe cherche à appliquer l’outil à plus grande échelle, sur des ensembles de données plus récents et plus importants, afin d’en tester la fiabilité avant que son utilisation ne devienne pratique courante.
« Je tiens à remercier chaleureusement les donateurs de la Société canadienne du cancer qui ont financé ma recherche, déclare Mme Khademi. Sans le soutien des donateurs, une grande partie de ce travail ne serait pas possible. »
En ce temps des fêtes, vous pouvez aider des chercheurs comme Mme Khademi à maintenir leur prodigieux élan.
Grâce au Prix pour des chercheurs prometteurs de la Société canadienne du cancer, Mme Khademi et son équipe ont créé un outil d’IA qui aide les pathologistes à poser de manière plus constante et plus fiable les diagnostics de cancer du sein qui orientent la prise de décisions sur le traitement.
Habituellement, les pathologistes analysent les cellules et les tissus au microscope afin de fournir des scores permettant de préciser le diagnostic et de déterminer les traitements envisageables. Cependant, les médecins peuvent interpréter différemment un même échantillon, et dans un contexte de pénurie de pathologistes, cette méthode peut entraîner des délais dans le diagnostic et les soins.
« Pour n’importe quelle analyse effectuée par des êtres humains, selon l’expérience, la formation ou même l’heure de la journée, l’interprétation visuelle d’une image pourrait mener à des réponses différentes », affirme Mme Khademi.
Une étude internationale parue récemment a montré que l’outil d’IA créé par Mme Khademi et son équipe améliorait considérablement les évaluations des pathologistes. Cet outil permettrait une notation plus efficace et plus précise d’un biomarqueur du cancer du sein.
Mme Khademi est enthousiaste à l’idée que son projet de recherche puisse aider les médecins à choisir les meilleurs traitements pour chaque personne selon son diagnostic. À l’heure actuelle, son équipe cherche à appliquer l’outil à plus grande échelle, sur des ensembles de données plus récents et plus importants, afin d’en tester la fiabilité avant que son utilisation ne devienne pratique courante.
« Je tiens à remercier chaleureusement les donateurs de la Société canadienne du cancer qui ont financé ma recherche, déclare Mme Khademi. Sans le soutien des donateurs, une grande partie de ce travail ne serait pas possible. »
En ce temps des fêtes, vous pouvez aider des chercheurs comme Mme Khademi à maintenir leur prodigieux élan.