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Un chez-soi loin de la maison pour les enfants atteints de cancer

Harland, childhood cancer survivor reading a book.
Harland,  un enfant survivant de cancer
Tous les parents savent à quel point il est stressant de voir son enfant malade. Toutefois, lorsque les parents de Harland ont remarqué que ses symptômes évoluaient au-delà d’un simple rhume ou d’une grippe et qu’ils affectaient son comportement et ses facultés cognitives, ils ont commencé à s’inquiéter sérieusement.

Harland et ses parents ont été dirigés vers le neurologue le plus près de leur domicile, à cinq heures de route, lequel a diagnostiqué un cancer du cerveau. Le diagnostic n’a pas été facile pour les membres de la famille qui ont vite compris à quel point les traitements seraient difficiles. En effet, en plus de la chirurgie, Harland devait avoir des traitements de radiothérapie et de chimiothérapie pendant six semaines, également à cinq heures de route de chez eux.

Faire des allers et retours en voiture pendant des heures chaque jour pendant six semaines était impensable. Alors, lorsqu’ils ont entendu parler de la maison d’hébergement de la Société canadienne du cancer (SCC), un endroit abordable et accueillant pour les personnes devant parcourir une grande distance pour recevoir leurs traitements contre le cancer, ils ont su qu’ils avaient trouvé la solution. Dès leur arrivée à la maison d’hébergement, Harland et sa famille ont senti qu’ils avaient trouvé un chez-soi loin de la maison.

Harland et sa famille ont donc pu séjourner dans un endroit réconfortant qui offrait également la compagnie d’autres personnes ainsi qu’une foule d’activités variées, ce qui permettait à Harland d’oublier ses traitements pendant quelques heures. Il aimait dessiner et peindre dans la salle de jeux et d’artisanat de la maison, et y a même laissé une collection de ses « œuvres » en exposition pour que d’autres puissent en profiter. Il a pu passer du temps avec ses parents dans la salle commune et se régaler des collations et des gâteries que les cuisiniers lui réservaient.

Harland est l’une des nombreuses personnes à avoir trouvé du réconfort et tissé des liens d’amitié à l’une des maisons d’hébergement de la SCC, au moment où elles en avaient le plus besoin. Tout cela est grâce à des donateurs engagés comme vous.

« Je voudrais dire un grand merci aux personnes qui font des dons à la SCC, déclare Janet, la mère de Harland. Vous n’avez aucune idée de l’impact que vous avez sur les familles comme la nôtre. »