A group of women standing together
On vous aime en santé

Mémo-mamo

Détectez le cancer du sein à un stade précoce et améliorez vos chances de guérison grâce au dépistage du cancer du sein avec des ressources pour les femmes admissibles du Québec.
Toutes les langues disponibles: English | Français | Arabic | Créole | Español | Mandarin

Faites comme elles. Passez votre mammographie!

La campagne Mémo-mamo de la Société canadienne du cancer (SCC) est de retour pour une 14e édition dans le cadre du Mois de la sensibilisation au cancer du sein. Sous le thème On vous aime en santé, la campagne vise à sensibiliser les Québécoises âgées de 50 à 74 ans à l’importance de réaliser une mammographie de dépistage tous les deux ans.

[À l’écran, le logo de la campagne Mémo-mamo s’affiche sur fond rose. Les trois narratrices apparaissent à l’écran l’une après l’autre en plan large. Autour d’elles, l’équipe de tournage replace leurs vêtements et leurs micros. Les narratrices 1 et 2 sont installées sur une chaise devant un arrière-plan rose. La narratrice 3 est accompagnée de sa fille, elles sont installées dans leur chaise devant un arrière-plan blanc. Une table les sépare avec des jonquilles jaunes dans un vase. Fin de la scène]

[À l’écran, on voit le texte ‘Un diagnostic de cancer du sein’ sur un fond rose. Fin de la diapo.]

[À l’écran, on voit la narratrice 1 en plan rapproché. Le nom de la narratrice apparait. Lise Villeneuve. Journaliste, diagnostiquée en 2020.]

Narratrice 1 : J'aimerais ça savoir la formule magique pour convaincre toutes les femmes autour de moi et même celles que je connais pas de passer leur mammographie dès que c'est disponible. Mais je pense qu'il faut surtout se rappeler qu'on n'a pas le contrôle sur tout ce qui se passe dans notre vie.

[Fin de la scène avec Lise. À l’écran, on voit la narratrice 2 en plan rapproché. Le nom de la narratrice apparait. Dre Mona Ben M’Rad. Médecin et survivante, diagnostiquée en 2018.

Narratrice 2 : C'est sûr que les femmes vont s'encourager entre elles. Je pense que c'est très important dans notre autonomisation de prendre aussi le contrôle de la surveillance de ce qui peut se passer dans notre corps.

[Fin de la scène avec Mona. À l’écran, on voit le texte ‘La mammographie’ sur un fond rose. Fin de la diapo.]

[À l’écran, on voit la narratrice 1, Lise, en plan rapproché.]

Narratrice 1 : C'est vraiment simple comme c'est pas du tout invasif, c'est rapide, ça prend deux minutes à peine. C'est un peu inconfortable, mais ça donne un sentiment de contrôle sur sa vie. Une fois que c'est fait.

[Fin de la scène avec Lise. À l’écran, on voit la narratrice 2, Mona en plan rapproché.]

Narratrice 2 : Ça peut être désagréable, douloureux, mais personnellement, je préfère cette douleur là à d'autres qui sont bien pires. Je crois que tous les êtres humains ont assez de courage pour surmonter de l'inconfort et de la douleur physique.

[Fin de la scène avec Mona. À l’écran, on voit le texte ‘La lettre du Programme québécois de dépistage du cancer du sein’ dans un cercle à gauche, accompagné d’un visuel de la lettre du PQDCS à sa droite, le tout sur un fond rose. Fin de la diapo.]

[À l’écran, on voit la narratrice 3 en plan rapproché, sa fille n’est pas à l’écran. Le nom de la narratrice apparait. Suzanne Maillé. Diagnostiquée en 2011.]

Narratrice 3 : Quand vous recevez la lettre, c'est le prendre le temps de la lire, mais d'être proactif et non réactif. Parce que des fois, quand on se pose beaucoup de questions, c'est là qu'on a une crainte vraiment d'aller passer des tests. Je pense que c'est important d'être proactif et d'y aller parce que c'est important de voir qu'est ce qu'il en est exactement et on est pris en charge très vite quand on a le cancer.

[Fin de la scène avec Suzanne. À l’écran, on voit la narratrice 1, Lise en plan rapproché.]

Narratrice 1 : Donc la mammographie absolument sauve la vie.

[Fin de la scène avec Lise. À l’écran, on voit les trois narratrices en plan rapproché en train de sourire.]

[Fin de la scène avec les trois narratrices. À l’écran, on voit le texte ‘Faites comme elles. Passez votre mammographie!’ sur un fond rose. Une nouvelle diapo apparait à l’écran, on voit le texte ‘On vous aime en santé’. Fin de la diapo.

[Le logo de la Société canadienne du cancer et son ellipse rose apparaissent au centre de l’écran. Le texte ‘Pour toute question concernant le dépistage du cancer du sein, contactez-nous : 1 888 939-3333 est affiché en dessous avec le site Web de la campagne Mémo-mamo cancer.ca/memo-mamo]

 

Les femmes du Québec âgées de 50 à 74 ans sont admissibles à une mammographie pour le dépistage du cancer du sein. Certaines femmes n’ont pas accès à toute l’information nécessaire sur la mammographie ou les ressources provinciales disponibles. La Société canadienne du cancer tient à offrir des services inclusifs et diversifiés pour toutes les femmes du Québec.

Pour prendre soin de la santé de vos seins, il faut d'abord comprendre les avantages et les limites du dépistage du cancer du sein ainsi que les raisons pour lesquelles vous devriez vous faire dépister. Il faut aussi savoir comment passer une mammographie et connaître les critères admissibilités.

Memo Mamo - Dépistage du cancer du sein - Marie-Claude Barrette

« Je souhaite rappeler à toutes les femmes de 50 à 74 ans qu’on les aime en santé. Prenez rendez-vous pour votre mammographie dès que vous recevrez la lettre du PQDCS. Faites-le pour votre santé, c’est une façon simple de prendre soin de vous! », souligne Marie-Claude Barrette, ambassadrice de la campagne

Memo Mamo - Dépistage du cancer du sein - Marie-Claude Barrette
Dre Mona Ben M'Rad - 50 ans
Je suis une femme, une maman, une médecin. J’ai basculé de l’autre côté de la barrière médecin-patient à cause d’un cancer du sein qui fut pour moi une épreuve à la fois douloureuse et transformatrice. L’expérience que j’ai vécue de la maladie, des traitements et des souffrances physiques et morales m’a révélé les ressources en moi, et autour de moi, pour l’affronter. Je souhaite inspirer et aider les personnes vivant avec un cancer en m’impliquant auprès de la SCC.

Faites comme Mona. Passez votre mammographie!

« Mon corps est mon meilleur ami; il m'accompagne à chaque moment, de ma naissance à mon dernier souffle. Mon corps a été si courageux lorsqu'il a affronté la violente tempête du cancer du sein et des traitements. Je lui ai promis de le respecter, de l’honorer, de le nourrir de bons aliments, de lui offrir des nuits de sommeil réparatrices, de l’accepter avec toutes ses cicatrices et ses imperfections et de l’aimer comme il est, car il est mon fier vaisseau dans l’océan de la vie. »

[À l’écran, le logo de la campagne Mémo-mamo s’affiche sur fond rose. La narratrice 1 apparait à l’écran en plan large. Autour d’elle, l’équipe de tournage ajuste son maquillage et replace un coussin sur sa chaise. La narratrice 1 est installée sur une chaise devant un arrière-plan rose. Fin de la scène]

[À l’écran, on voit la narratrice 1 en plan rapproché. Le nom de la narratrice apparait. Dre Mona Ben M’Rad. Médecin et survivante, diagnostiquée en 2018.]

Narratrice 1 : Je m'appelle Mona, je suis médecin. J'ai reçu un diagnostic de cancer du sein en 2018.

[Fin de la scène avec Mona en plan rapproché. À l’écran, on voit Mona en plan large.]

Narratrice 1 : J'ai découvert un peu par hasard une masse dans mes seins.

[Fin de la scène avec Mona en plan large. À l’écran, on voit Mona en plan rapproché.]

Narratrice 1 : J'ai eu des traitements de chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie et aujourd'hui je suis guérie et en pleine santé.

[Fin de la scène avec Mona en plan rapproché. À l’écran, on voit Mona qui sourit en plan serré.]

[Fin de la scène avec Mona. À l’écran, on voit le texte ‘Parlez-nous du cancer du sein’ sur un fond rose. Fin de la diapo.]

[À l’écran, on voit la narratrice 1, Mona, en plan large.]

Narratrice 1 : En termes de fréquence c'est le premier cancer au Canada pour les femmes. Donc, une femme sur huit au Canada va recevoir un diagnostic de cancer du sein. Il y a eu un pic de mortalité important en 1986...

[À l’écran, on voit la narratrice 1, Mona, en plan rapproché.]

Narratrice 1 : ...mais, depuis, les progrès ont été tels en termes de dépistage, de traitements, que ça a diminué de 48 % la mortalité.

[Fin de la scène avec Mona. À l’écran, on voit le texte ‘Le dépistage précoce améliore la survie.’ sur un fond rose. Fin de la diapo.]

[À l’écran, on voit la narratrice 1, Mona, en plan rapproché.]

Narratrice 1 Quand on avait un diagnostic de cancer du sein dans les années 90, c'était 82 % de chances de survie. Maintenant, c'est 89 %. Donc c'est des chiffres extrêmement encourageants qui ne peuvent que nous inciter à aller au dépistage précoce pour augmenter nos chances.

[Fin de la scène avec Mona. À l’écran, on voit le texte ‘Qu’est-ce que le cancer du sein vous a appris?’ sur un fond rose. Fin de la diapo.]

[À l’écran, on voit la narratrice 1, Mona, en plan rapproché.]

Narratrice 1 Au travers de ce parcours, je me suis rendu compte que j'ai pu développer des ressources que je n'avais pas au départ, des ressources de résilience. Donc, le fait de surmonter des obstacles qui me paraissaient infranchissables, le fait d'avoir soulevé cette montagne, m'a donné énormément de force.

[Fin de la scène avec Mona en plan rapproché. À l’écran, on voit Mona en plan large.]

Narratrice 1 : Ça m'a aussi changée comme professionnelle, parce que de passer de l'autre côté de la barrière m'a permis vraiment de vivre cette expérience de la maladie chronique que je pensais comprendre, mais que je ne comprenais pas du tout.

[Fin de la scène avec Mona en plan large. À l’écran, on voit Mona en plan rapproché qui sourit. Ensuite, on voit Mona en plan serré.]

Narratrice 1 : Je vis en faisant confiance à la vie et je remarque que les progrès en dépistage, en traitement sont absolument spectaculaires dans le cancer du sein. Les choses ont déjà beaucoup évolué déjà en quelques années. Donc, non je fais totalement confiance à la vie.

[Fin de la scène avec Mona. À l’écran, on voit Mona en train de sourire et de se lever de sa chaise, une petite musique inspirante au piano joue.]

[La musique continue. Fin de la scène avec Mona. À l’écran, on voit le texte ‘Faites comme Mona. Passez votre mammographie!’ sur un fond rose. Une nouvelle diapo apparait à l’écran, on voit le texte ‘On vous aime en santé’. Fin de la diapo.

[Le logo de la Société canadienne du cancer et son ellipse rose apparaissent au centre de l’écran. Le texte ‘Pour toute question concernant le dépistage du cancer du sein, contactez-nous : 1 888 939-3333 est affiché en dessous avec le site Web de la campagne Mémo-mamo cancer.ca/memo-mamo]

Lise Villeneuve - 55 ans
Je suis journaliste depuis 25 ans. Habituée à vivre avec l'adrénaline et le stress des heures de tombée, je suis faite pour l'action et le mouvement. Je dois ma vie au dépistage systématique du cancer du sein offert aux femmes de 50 ans et plus au Québec et je me suis donné comme mission personnelle de faire connaître cet extraordinaire outil de prévention en en parlant autour de moi et en incitant toutes les femmes; amies, collègues et connaissances, à affronter leurs peurs et à aller passer leur mammographie de contrôle dès que cela est possible. Je suis également mère de deux filles, qui deviennent chaque jour davantage de magnifiques êtres humains.

Faites comme Lise. Passez votre mammographie!

« Depuis que j’ai appris que j’avais le cancer du sein, j’ai décidé de rester positive, car je voulais connaître mes futurs petits-enfants. Faire une mammographie ne prend que quelques minutes et peut changer une vie. Lors de mon diagnostic, j’ai été prise en charge rapidement et tout se passe bien depuis ce temps. »

[À l’écran, le logo de la campagne Mémo-mamo s’affiche sur fond rose. La narratrice 1 apparait à l’écran en plan large. Autour d’elle, l’équipe de tournage replace son micro et ajuste son maquillage. La narratrice 1 est installée sur une chaise devant un arrière-plan rose. Fin de la scène]

[À l’écran, on voit la narratrice 1 en plan rapproché. Le nom de la narratrice apparait. Lise Villeneuve. Journaliste, diagnostiquée en 2020.]

Narratrice 1 : Je m'appelle Lise Villeneuve, j'ai 55 ans. Je suis journaliste et mère de deux filles. J'ai reçu un diagnostic de cancer du sein, un cancer de type HER2 positif en février 2020, juste avant la pandémie.

[Fin de la scène avec Lise. À l’écran, on voit le texte ‘La lettre du Programme québécois de dépistage du cancer du sein’ dans un cercle à gauche, accompagné d’un visuel de la lettre du PQDCS à sa droite, le tout sur un fond rose. Fin de la diapo.]

[À l’écran, on voit la narratrice 1, Lise, en plan rapproché.]

Narratrice 1 : J'ai reçu la lettre en avril 2019. Je venais d'avoir 50 ans. J’étais en séparation, en déménagement. Je ne me suis pas occupée de la lettre. Alors, comme beaucoup d'autres femmes sans aucun doute, je l'ai mis sur le frigo et je l'ai laissée là

[Fin de la scène avec Lise en plan rapproché. À l’écran, on voit Lise en plan large.]

Narratrice 1 : J'ai eu peur de plein de choses mais jamais, jamais, jamais, jamais du cancer du sein. Et ça faisait pas du tout partie de ma réalité.

[Fin de la scène avec Lise en plan large. À l’écran, on voit Lise en plan rapproché.]

Narratrice 1 : Au cours de l'été, une amie d'université de qui je suis très proche, a eu un diagnostic de cancer du sein. Et à l'automne suivant, l'automne 2019, j'ai reçu une deuxième lettre du programme de dépistage de cancer du sein, qui m’invitait à venir passer une mammographie une nouvelle fois.

[Fin de la scène avec Lise en plan rapproché. À l’écran, on voit Lise en plan large.]

Narratrice 1 : Donc. Je me suis dit : « Il faut que j'y aille, parce que j'ai une amie proche qui a un cancer du sein. »

[Fin de la scène avec Lise en plan large. À l’écran, on voit Lise en plan rapproché.]

Narratrice 1 : J'ai pris un rendez-vous pour une mammographie et puis ça a eu lieu en décembre 2019.

[Fin de la scène avec Lise. À l’écran, on voit le texte ‘Comment s’est passée la mammographie’ sur un fond rose. Fin de la diapo.]

[À l’écran, on voit la narratrice 1, Lise, en plan rapproché.]

Narratrice 1 : Ça s'est bien passé. Mais en fait, on m'a rappelée deux jours plus tard pour me dire « Il faut revenir avant Noël. » La médecin qui a passé l’échographie, elle avait à peine terminé l'examen qu'elle m'a dit « Il y a une lésion. C'est une tumeur. »

[Fin de la scène avec Lise. À l’écran, on voit le texte ‘Le diagnostic de cancer du sein’ sur un fond rose. Fin de la diapo.]

[À l’écran, on voit la narratrice 1, Lise, en plan rapproché.]

Narratrice 1 : Puis finalement, j'ai eu le diagnostic en février 2020, sans savoir ce qui nous attendait tous, la pandémie qui allait nous frapper au Québec en mars 2020.

[Fin de la scène avec Lise en plan rapproché. À l’écran, on voit Lise en plan large.]

Narratrice 1 : J'ai eu la chance d'être opérée au mois de février, quand le monde était encore normal. Puis ensuite quand j'ai revu mon oncologue à la fin mars 2020, on était en pandémie à ce moment-là. Je lui au dit « Est-ce qu'on peut attendre après la pandémie pour faire la chimio? » Il a trouvé ça très drôle. Il m’a dit « Non, tu commences la semaine prochaine’. »

[Fin de la scène avec Lise en plan large. À l’écran, on voit Lise en plan rapproché.]

Narratrice 1 : En fait ça été trouvé du côté gauche, plutôt vers le haut du sein, mais c'était très profond dans le sein, donc je n'aurais pas pu le toucher par moi-même.

[Fin de la scène avec Lise en plan rapproché. À l’écran, on voit Lise en plan serré.]

Narratrice 1 : Les mammographies sont tellement précises de toute façon, de par la prise de vue, mais aussi la qualité de l'image, ils peuvent aller chercher des tumeurs qui sont aussi petites qu'un petit pois, environ quatre mm.

[Fin de la scène avec Lise en plan serré. À l’écran, on voit Lise en plan rapproché.]

Narratrice 1 : Donc, la mammographie m'a absolument sauvé la vie.

[Fin de la scène avec Lise. À l’écran, on voit Lise en plan serré en train de sourire, une petite musique inspirante au piano joue.]

[La musique continue. Fin de la scène avec Lise. À l’écran, on voit le texte ‘Faites comme Lise. Passez votre mammographie!’ sur un fond rose. Une nouvelle diapo apparait à l’écran, on voit le texte ‘On vous aime en santé’. Fin de la diapo.]

[Le logo de la Société canadienne du cancer et son ellipse rose apparaissent au centre de l’écran. Le texte ‘Pour toute question concernant le dépistage du cancer du sein, contactez-nous : 1 888 939-3333 est affiché en dessous avec le site Web de la campagne Mémo-mamo cancer.ca/memo-mamo]

Suzanne Maillé - 57 ans
Je me présente, Suzanne Maillé, agente administrative au CISSS de Lanaudière. Je suis mariée depuis cinq ans et en couple avec le même homme depuis 42 ans. Nous avons eu trois beaux enfants et, dernièrement, deux petites-filles. J’ai reçu un diagnostic de cancer du sein en février 2011. Je participe à la campagne Mémo-mamo, car je trouve très important de parler aux gens pour leur faire comprendre l’importance de passer une mammographie.

Faites comme Suzanne. Passez votre mammographie!

« Depuis que j’ai appris que j’avais le cancer du sein, j’ai décidé de rester positive, car je voulais connaître mes futurs petits-enfants. Faire une mammographie ne prend que quelques minutes et peut changer une vie. Lors de mon diagnostic, j’ai été prise en charge rapidement et tout se passe bien depuis ce temps. » 

[À l’écran, le logo de la campagne Mémo-mamo s’affiche sur fond rose. La narratrice 1 Suzanne est assisse et accompagnée de sa fille Audrey, la narratrice 2. Elles apparaissent à l’écran en plan large, elles sont installées dans leur chaise devant un arrière-plan blanc. Une table les sépare avec des jonquilles jaunes dans un vase. Autour d’elles, l’équipe de tournage replace leurs vêtements et leurs micros. Fin de la scène]

[À l’écran, on voit la narratrice 1 en plan serré. Le nom de la narratrice apparait. Suzanne Maillé. Diagnostiquée en 2011.]

Narratrice 1 : Bonjour, je m'appelle Suzanne Maillé. J'ai reçu le diagnostic du cancer du sein en février 2011. Et à ce moment-là, j'avais 44 ans.

[Fin de la scène avec Suzanne en plan serré. À l’écran, on voit Audrey et Suzanne assises dans leurs chaises, en plan large.]

Narratrice 1 : Je suis ici avec ma fille Audrey.

[Fin de la scène avec Audrey et Suzanne en plan large. À l’écran, on voit Audrey sourire en plan serré.]

[Fin de la scène avec Audrey en plan serré. À l’écran, on voit Audrey en plan rapproché, regarder sa mère qui est hors cadre. Le nom de la narratrice 2 apparait. Audrey. Fille de Suzanne.]

Narratrice 2 : Moi c'est Audrey. Je suis la fille de Suzanne. Qui va bientôt être grand-mère de deux petites jumelles qui s'en viennent bientôt.

[Fin de la scène avec Audrey. À l’écran, on voit le texte ‘Le diagnostic’ sur un fond rose. Fin de la diapo.]

[À l’écran, on voit la narratrice 1, Suzanne, en plan rapproché. Sa fille Audrey est hors cadre.]

Narratrice 1 : Au mois de septembre 2010, je suis tombée en burn out. C'était le travail, vraiment, il n'y avait pas autre chose à la maison. Puis au mois de janvier qui suivait, en 2011, je vais retourner en retour progressif.

[Fin de la scène avec Suzanne en plan rapproché. À l’écran, on voit Audrey et Suzanne assises dans leurs chaises, en plan large.]

Narratrice 1 : Je me suis rendu compte qu'il y avait quelque chose de différent, donc j'avais comme deux masses. Donc j'ai été voir le médecin, il m'a dit « Pour l'instant, tu ne retournes pas en retour progressif, on va te faire passer une mammo. »

[Fin de la scène avec Suzanne. À l’écran, on voit le texte ‘L'annonce aux proches’ sur un fond rose. Fin de la diapo.]

[À l’écran, on voit la narratrice 1, Suzanne, en plan rapproché.]

Narratrice 1 : C'était pas facile par rapport aux enfants parce que je me disais que seize ans, onze ans et cinq ans - une fille, un garçon, une fille - c'était pas mal le meilleur moyen de le dire tous en même temps parce qu'ils n'ont pas la même compréhension.

[Fin de la scène avec Suzanne en plan rapproché. À l’écran, on voit Audrey en plan rapproché. Sa mère Suzanne est hors cadre]

Narratrice 2 : C'était mon bal des finissants. C'était un des gros moments à passer. Puis ça fait que c'est beaucoup de changement. Moi, dans ma tête, je me faisais raser les cheveux pour ma mère, à mon bal. C’était ça mon idée première. Elle n’a jamais voulu!

[Fin de la scène avec Audrey en plan rapproché. À l’écran, on voit Audrey et Suzanne assises dans leurs chaises, en plan large.]

Narratrice 1 : Non! Elle avait les cheveux à la moitié du dos. Donc j'ai dit : « Tu peux faire beaucoup de choses pour moi, mais pas couper tes cheveux parce que le bal, ça arrive une fois dans une vie. »

[Fin de la scène avec Audrey et Suzanne. À l’écran, on voit le texte ‘Les sources d'inspiration’ sur un fond rose. Fin de la diapo.]

[À l’écran, on voit la narratrice 1, Suzanne, en plan rapproché.]

Narratrice 1 : C'est pas toujours facile, mais c’est en restant positif puis voir la lumière au bout du tunnel que c'est faisable.

[Fin de la scène avec Suzanne en plan rapproché. À l’écran, on voit Audrey en plan rapproché. Sa mère Suzanne est hors cadre]

Narratrice 2 : Sinon j'ai jamais trouvé que c'était une autre personne ou que son énergie, sa joie de vivre, avait changé en tant que tel. Ça a été super le fun de la voir malgré tout, être elle.

[Fin de la scène avec Audrey en plan rapproché. À l’écran, on voit Suzanne en plan serré qui sourit à sa fille Audrey qui est hors cadre]

[Fin de la scène avec Suzanne en plan serré. À l’écran, on voit Suzanne en plan rapproché.]Narratrice 1 Depuis le début, moi j'ai toujours été très positive dans la vie, pour à peu près n'importe quoi. Donc, je me suis dit - je vais être un peu émotive - mais moi je voulais voir mes petits-enfants. C'était important pour moi?[On voit sa fille Audrey qui est hors cadre, prendre la main de sa mère dans la sienne.]

Narratrice 1 : Je me suis dit : « Je suis là pour rester, je sais pas combien de temps, mais j'ai je vais rester, puis je vais voir mes petits-enfants. »

[Fin de la scène avec Suzanne en plan rapproché. À l’écran, on voit Audrey et Suzanne assises dans leurs chaises, en plan large.]

Narratrice 1 : Puis là on est rendus à ce que...

Narratrice 2 : On est rendus à ce que ça arrive

Narratrice 1 : À avoir des petits-enfants – deux petites filles.

[Fin de la scène avec Audrey et Suzanne en plan large. À l’écran, on voit Audrey et Suzanne en plan rapproché, sourire à l’équipe de tournage, une petite musique inspirante au piano joue.]

[La musique continue. Fin de la scène avec Audrey et Suzanne. À l’écran, on voit le texte ‘Faites comme Suzanne. Passez votre mammographie!’ sur un fond rose. Une nouvelle diapo apparait à l’écran, on voit le texte ‘On vous aime en santé’. Fin de la diapo.]

[Le logo de la Société canadienne du cancer et son ellipse rose apparaissent au centre de l’écran. Le texte ‘Pour toute question concernant le dépistage du cancer du sein, contactez-nous : 1 888 939-3333 est affiché en dessous avec le site Web de la campagne Mémo-mamo cancer.ca/memo-mamo]

Marie-Hélène Luly - Ambassadrice communauté haïtienne

Je suis Marie-Hélène Luly, médecin de formation, engagée depuis une vingtaine d’années dans l’éducation populaire à la santé et la sensibilisation des communautés multiethniques du Québec à des problématiques diversifiées, telles que la santé sexuelle, la prise en charge et la prévention de maladies chroniques, et les saines habitudes de vie. Depuis février 2013, je suis activement impliquée dans le dépistage du cancer du sein auprès des femmes issues des communautés ethnoculturelles de Montréal. Consciente des disparités multiples que vivent ces femmes en matière de santé, j’ai décidé de pousser à la roue pour favoriser un accès équitable et optimal aux services et soins de santé, à ces êtres que je considère comme la colonne vertébrale de la société!
Pour ces femmes que nous aimons et chérissons, pour ces héroïnes qui se sont sacrifiées toute leur vie pour nous mettre au monde, prendre soin de nous, défendre nos droits, nous conseiller, nous réconforter; pour ces mères, ces grand-mères, ces sœurs, tantes et amies tellement précieuses, je veux aujourd’hui célébrer la vie, avec elles. Encourageons-les ensemble à passer leur mammographie de dépistage et contribuons, d’un commun accord, à améliorer ainsi leur santé et à augmenter leurs années de bonheur à nos côtés!

Alix Ortega - Ambassadrice communauté latino-américaine

Je m'appelle Alix Milena Ortega et je suis passionnée par le service et la sensibilisation au bien-être et à la qualité de vie. Médecin de formation en Colombie, je travaille actuellement comme naturopathe et homéopathe au Canada. De nombreuses expériences personnelles et professionnelles m'ont amenée à m'impliquer activement dans la prévention du cancer du sein. Je crois fermement que l'éducation et la détection précoce sont essentielles pour sauver des vies. En tant qu'ambassadrice de la Société canadienne du cancer, je m'engage à promouvoir des habitudes saines et des outils de prévention qui permettent aux femmes de prendre soin de leur santé.
La détection précoce du cancer du sein est cruciale, car c’est à ce stade qu’il est le plus traitable et que les chances de guérison sont les plus élevées. Une simple mammographie peut identifier des tumeurs avant qu’elles ne soient palpables, permettant ainsi un diagnostic précoce qui sauve des vies. La prévention est notre meilleure défense : effectuer régulièrement des mammographies, en plus de l'autoexamen et des consultations médicales, est essentiel pour protéger notre santé. Agir à temps fait toute la différence!

Kaimei Zhang – Ambassadrice communauté chinoise

D'origine chinoise, j'ai immigré au Québec il y a 18 ans. Je travaille comme enseignante. Ma première expérience de travail au Québec était pour sensibiliser les femmes d'origine chinoise à l'importance de la mammographie pour dépister le cancer du sein. Cela m'a permis de faire des liens avec les femmes dans la communauté chinoise.
La mammographie peut trouver un cancer du sein pendant qu'il est tellement petit qu'on ne le voit pas à l’œil nu, et qu'il peut être traité efficacement sans devoir utiliser des traitements agressifs comme la chimiothérapie ou la mastectomie. C'est l'outil de détection le plus fiable, pour un cancer qui a d'excellents pronostics de traitement s'il est pris tôt.

Importance du dépistage du cancer du sein

Le cancer du sein est la deuxième cause de décès par cancer chez les femmes au Canada. On estime que 1 femme sur 8 recevra un diagnostic de cancer du sein au cours de sa vie. 

Cependant, depuis 1986, le taux de mortalité du cancer du sein a été réduit de moitié, grâce à la recherche continue et à l'amélioration des mesures de détection précoce et des traitements.  Aujourd'hui, environ 88 % des femmes diagnostiquées avec un cancer du sein peuvent survivre au moins 5 ans après le diagnostic.

En vous soumettant à un dépistage du cancer du sein, vous augmentez vos chances de détecter le cancer du sein à un stade précoce, avant même l'apparition des symptômes, lorsqu'il est le plus facile à traiter.
Memo Mamo - Dépistage du cancer du sein - Pourquoi passer une mammographie

Pourquoi devrais-je passer une mammographie tous les deux ans ?

Parce que c'est le meilleur moyen de détecter le cancer du sein.

Une mammographie peut détecter le cancer du sein à un stade précoce, avant même que vous ne ressentiez des symptômes, ce qui réduit votre risque de mourir du cancer.

Pour en savoir plus sur le dépistage du cancer du sein.




Memo Mamo - Dépistage du cancer du sein - Pourquoi passer une mammographie
Une mammographie est une radiographie à faible énergie du tissu mammaire qui fournit des images détaillées du sein sous différents angles.
Vous serez accueillie par une technicienne en imagerie médicale. Pour l'examen, le sein est placé entre deux plaques de compression en plastique, qui sont pressées ensemble pour aplatir le sein. La procédure peut provoquer un certain inconfort, mais celui-ci ne dure généralement que quelques secondes. Deux radiographies sont nécessaires pour chaque sein.
La compression du tissu mammaire permet d'obtenir des images plus claires tout en minimisant autant que possible la quantité de radiations utilisées.

Vous ressentirez un inconfort pendant environ 30 secondes pour chaque sein.
Memo Mamo - Dépistage du cancer du sein - Comment passer une mammographie

Comment passer une mammographie au Québec ?

Toutes les femmes québécoises de 50 à 74 ans reçoivent une lettre du Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) qui sert d’ordonnance (prescription médicale) pour passer une mammographie.  

Vous pouvez recevoir une mammographie dans une clinique ou un centre de dépistage. 

Une liste des centres de dépistage désignés est jointe à la lettre du Programme québécois de dépistage du cancer du sein. 

Vous pouvez aussi consulter la liste de tous les centres de dépistage désignés du Québec en cliquant sur le lien suivant : Ressources régionales - Programme québécois de dépistage du cancer du sein | Gouvernement du Québec (quebec.ca)
Memo Mamo - Dépistage du cancer du sein - Comment passer une mammographie

Vous avez entre 50 et 74 ans mais n'avez pas reçu votre lettre ? 

Nous vous invitons à communiquer avec le Centre de coordination des services régionaux du PQDCS de votre région.

Vous avez moins de 50 ans et souhaitez passer une mammographie ? 

Discutez avec votre médecin de votre risque personnel de cancer du sein ainsi que des avantages et inconvénients de la mammographie. 

Si vous avez d'autres questions sur la façon de passer une mammographie au Québec, veuillez consulter le site Web du ministère de la Santé et des Services sociaux pour obtenir de plus amples renseignements sur le Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) | Gouvernement du Québec (quebec.ca).

(Une musique est diffusée et des mots apparaissent sur un fond rose).
 
Mémo-mamo
 
Démystifions ensemble la mammographie.  
 
La mammographie est le meilleur moyen pour détecter un cancer du sein.
 
On peut y détecter une masse aussi petite qu’un pois
 
Plus le cancer est détecté tôt, plus les chances de survie sont élevées.
 
 Aujourd’hui, 89% des femmes diagnostiquées avec un cancer du sein survivent au moins 5 ans après leur diagnostic.
 
La mammographie est un test gratuit dont le suivi médical est assuré même sans médecin de famille.  
 
C'est parfois inconfortable et un peu douloureux, mais c'est un examen de 2 minutes qui peut vous sauver la vie.
 
Parce qu’on vous aime en santé. 
 
Pour toute autre question sur le dépistage du cancer du sein, appelez-nous : 1-888-939-3333
 
[Le fond rose devient jaune. Le logo de la Société canadienne du cancer et un ruban rose apparaissent à gauche. À droite, une photo de Marie-Claude Barrette, porte-parole de Mémo-mamo].
 

Lettre sur le dépistage du cancer du sein au Québec

Toutes les femmes québécoises de 50 à 74 ans sont automatiquement inscrites au Programme québécois de dépistage du cancer du sein.

Après avoir reçu votre lettre de prise de rendez-vous pour une mammographie, contactez votre centre de dépistage local désigné.
Si vous avez besoin d'aide pour comprendre la lettre du Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS), veuillez consulter les définitions de certains mots clés :
Le cancer du sein prend naissance dans les cellules du sein. La tumeur cancéreuse (maligne) est un groupe de cellules cancéreuses qui peuvent envahir les tissus voisins et les détruire. Elle peut également se propager (métastases) à d’autres parties du corps.
Les tests de dépistage sont un moyen de détecter certains types de cancer, avant l’apparition de tout symptôme. Il est important de vous en prévaloir même si vous vous sentez en pleine forme et avez de saines habitudes de vie. Ils font partie de vos soins médicaux réguliers.
La mammographie est une radiographie des seins qui a pour but de détecter la présence d’un cancer. C’est la meilleure méthode pour dépister le cancer du sein. La mammographie est le seul examen de dépistage qui permet de réduire le nombre de décès attribuables au cancer du sein.
Le ministère de la Santé et des Services sociaux a lancé le Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) en mai 1998.

Le PQDCS invite les Québécoises âgées de 50 à 74 ans à passer une mammographie de dépistage du cancer du sein tous les 2 ans. La mammographie est le seul examen de dépistage qui permet de réduire le nombre de décès attribuables au cancer du sein.

Le PQDCS a pour objectif de réduire d’au moins 25 % le taux de mortalité par cancer du sein chez les femmes de 50 à 74 ans. Les résultats obtenus depuis les débuts du PQDCS vont dans ce sens, ce qui appuie la poursuite des activités du Programme.

Synonyme d’une ordonnance dans le milieu médical.
La radiographie est un examen d’imagerie qui a recours à de petites doses de radiation pour produire des images d’organes et de structures internes du corps.

Pour plus d’informations sur la radiographie : Radiographie | Société canadienne du cancer

Foire aux questions

Lors de l’examen, vous serez seulement en présence de femmes technologues. Il est possible que vous ne soyez pas à l’aise de montrer vos seins lors de la mammographie, mais il est important de la réaliser pour dépister un cancer du sein. Discutez-en avec les technologues sur place, elles pourront vous rassurer.

Oui. Lors de l’examen, vous serez en présence de femmes seulement.
Pour prendre rendez-vous, vous devez contacter un centre de dépistage désigné. Une liste des centres de dépistage désignés est jointe à la lettre du Programme québécois de dépistage du cancer du sein.

Vous pouvez aussi consulter la liste de tous les centres de dépistage désignés du Québec en cliquant sur le lien suivant :

Ressources régionales - Programme québécois de dépistage du cancer du sein | Gouvernement du Québec (quebec.ca)
Nous vous invitons à consulter la section « Lettre sur le dépistage du cancer du sein au Québec » qui contient une version audio (narrée) de la lettre ainsi que des explications claires et faciles sur le contenu de celle-ci. 
Visitez la page Qu’est-ce que le cancer du sein? pour plus d’informations.
Vous pouvez appeler la Ligne d’aide et d’information de la Société canadienne du cancer sans frais au 1 888 939-3333. Notre service confidentiel et gratuit est disponible du lundi au vendredi en anglais et en français. Pour les autres langues, nous pouvons faire appel à un service d'interprétation.

Oui. Il est possible d’être accompagnée lors de votre rendez-vous.

Oui. Nous vous invitons à contacter la Ligne d’aide et d’information de la Société canadienne du cancer au 1 888 939-3333 et une personne pourra vous aider à ce sujet.

Si vous avez entre 40 et 49 ans, discutez avec votre médecin des avantages et limitations de passer une mammographie, sans oublier de lui mentionner, s’il y a lieu, vos antécédents familiaux ou personnels de maladie. Vos antécédents pourraient justifier le dépistage à un plus jeune âge ou à intervalles plus rapprochés.

Il est important de connaître l’aspect normal de ses seins à tout âge. Si vous constatez des changements, parlez-en à votre médecin ou votre prestataire de soins de santé.

Bien que la Société canadienne du cancer recommande d’élargir le programme organisé de dépistage du cancer du sein aux femmes de 40 ans et plus, le PQDCS est admissible pour les femmes de 50 à 74 ans. 

Pour en savoir plus sur les recommandations de dépistage du cancer du sein de la SCC, visitez : https://cancer.ca/fr/about-us/media-releases/2024/breast-cancer-screening

Si vous avez 75 ans ou plus, demandez à votre médecin si vous devez passer une mammographie.

Nos ressources peuvent vous aider à prendre des décisions éclairées sur les traitements et à mieux contrôler votre santé et celle de votre famille.

Brochure :

https://cancer.ca/fr/cancer-information/resources/publications/should-i-be-screened-for-breast-cancer

https://cancer.ca/fr/cancer-information/resources/publications/take-the-next-steps-to-finding-cancer-early

Ça prend une société.